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Le Chêne 90 : Les Gaullistes du Renouveau

9 février 2014

Photo présentation liste "Montbéliard Renouveau " conduite par Marie-Noëlle BIGUINET

liste M2014

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3 février 2014

Présentation de la Liste de Marie-Noëlle BIGUINET le 07 Février 2014

Marie-Noëlle BIGUINET candidate aux prochaines élections Municipales de Montbéliard présentera sa liste le :

 

   Vendredi 7 Février au Théâtre de Montbéliard à 20 h

 

Je vous invite à venir nombreux et à inciter les vôtres , amis , voisins à participer à ce grand moment pour notre ville .

 

Bien à vous

 

Christophe

 

22 janvier 2014

Michèle ALLIOT-MARIE tête de liste dans le Sud Ouest pour les élections européennes

C'est avec beaucoup de fierté que l'ensemble de l'équipe du CHENE de l' Aire Urbaine Belfort-Montbéliard-Héricourt-Delle soutiendra Michèle ALLIOT-MARIE durant  cette campagne des européennes.

les gaullistes sont fidèles à l’image de l’Europe dont rêvaient Adenauer et De Gaulle : une Europe de l’Atlantique à l’Oural, garante de paix, influente dans le monde, assurant la prospérité et le progrès social de ses habitants.

8 novembre 2013

Le miracle de la Marne a inspiré l'appel de Londres

Nous commémorons, le 9 novembre 2013, les 43 ans de la disparition du Général de Gaulle. Nous sommes aussi à l'avant-veille du 11 novembre, qui est l'occasion pour la Nation unanime de rendre hommage à la longue cohorte de nos aînés, pour la plupart anonymes, qui ont donné leur vie pour la France entre 1914 et 1918.
La mémoire du Général de Gaulle reste associée à jamais au formidable refus de la capitulation de 1940 et à l'honneur sauvegardé de la France. Mais on oublie trop souvent qu'avant d'être l'âme de la France libre, le Général de Gaulle a été un héros de la Grande Guerre. Je crois d'ailleurs que c'est largement dans son expérience intime de la guerre de 1914-1918, durant laquelle il fût gravement blessé et prisonnier, que le Général de Gaulle a puisé l'inspiration de la Résistance en 1940.
Il l'avait dit lui-même lorsqu'il avait commémoré les 50 ans de la bataille de la Marne. Après s'être rendu à Meaux, Esternay et Bar-sur-Aube, il s'était adressé le 6 septembre 1964 à la foule sur le parvis de la cathédrale de Reims. Il avait rappelé combien le miracle de la Marne avait inspiré l'appel de Londres : « quand, après un quart de siècle, d'immenses malheurs fondirent sur la Patrie, c'est la confiance en son destin, enflammée sur la Marne, en septembre 1914, qui inspira la foi et l'espérance de ceux qui ne renoncèrent pas ». Dans ce très beau discours, il avait souligné que la survie de la France en 1914 avait tenu au courage de « la Nation en armes » à la perception de la « discordance qui se faisait jour chez l'ennemi » et à la solidité du Général Joffre qui ne s'était pas laissé aller à « ce renoncement du chef par où passe toujours le désastre ».
Ne jamais douter des ressorts profonds de la Nation, ne jamais surestimer l'adversité, ne jamais faillir dans son aptitude au commandement : voilà ce qui a évité l'effondrement total de la France en septembre 1914 comme à l'été 1940. Voilà ce qui a permis le sursaut.
Les circonstances actuelles ne peuvent être comparées aux tragédies du siècle dernier. Mais s'il est vrai que « chaque action passée dans la vie d'un peuple entre en compte dans son avenir » alors nous devons avoir en tête qu'en 2013 aussi la France, pour rebondir, a besoin d'un véritable chef, courageux et clair, capable de mobiliser la Nation autour d'un objectif qui transcende les intérêts particuliers.
C'est, je le crois, ce qui manque aujourd'hui à notre pays. François Hollande, prisonnier des accords partisans et des engagements trompeurs de sa campagne, n'arrive pas à fixer un cap qui rassemblerait tous les Français. Il met ses pas dans ceux de Guy Mollet plutôt que dans ceux de de Gaulle. Mais ne désespérons pas : dos au mur, à l'heure où les plus optimistes doutaient, le peuple français a toujours su trouver en lui les ressources nécessaires pour se montrer à la hauteur du rang si particulier qu'il a tenu dans l'Histoire.

Contenus liés:
29 août 2013

Grande Réunion de lancement des Municipales à Belfort

                  Venez découvrir en Avant-Première les points forts du programme des Municipales de 2014 :

 

         GRANDE REUNION PUBLIQUE

 

 

Le Vendredi 27 Septembre 2013 à 20H Salles des fêtes de BELFORT avec :

 

                               Damien MESLOT , tête de liste de l'union de la Droite et du Centre à BELFORT

 

                et            Marie-Noëlle BIGUINET , tête de liste de l'union de la Droite et du Centre à MONTBELIARD

 

 

                                                  Venez nombreux pour participer ensemble à la Reconquête de l'Aire Urbaine

 

Merci de confirmer votre présence auprès de Stéphanie ou Aurélie au 03.84.22.19.07

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14 juillet 2013

14 Juillet : La Fête Nationale

Le 21 mai 1880, le député Benjamin Raspail dépose la loi faisant du 14 juillet la fête nationale annuelle en commémoration du 14 juillet 1790, (fête de la Fédération). Le 14 juillet 1789 (prise de la Bastille) ayant été une journée jugée sanglante, c'est la Fête de la fédération qui emporta les suffrages. C'est finalement le 14 juillet 1790 seul qui est commémoré.

La loi, signée par 64 députés, est adoptée par l'Assemblée le 8 juin et par le Sénat le 29 juin. Elle est promulguée le 6 juillet 1880.

 

La lecture du rapport de séance du Sénat du 29 juin 1880[2] établissant cette fête nationale éclaire le débat sous-jacent portant sur laquelle de ces deux dates est commémorée le 14 juillet :

M. le rapporteur (Henri Martin) : - « Il y a eu ensuite, au 14 juillet 1789, il y a eu du sang versé, quelques actes déplorables ; mais, hélas ! dans tous les grands événements de l'histoire, les progrès ont été jusqu'ici achetés par bien des douleurs, par bien du sang. Espérons qu'il n'en sera plus ainsi dans l'avenir .
Cette journée-là, vous ne lui reprocherez pas d'avoir versé une goutte de sang, d'avoir jeté la division à un degré quelconque dans le pays, Elle a été la consécration de l'unité de la France. Oui, elle a consacré ce que l'ancienne royauté avait préparé. L'ancienne royauté avait fait pour ainsi dire le corps de la France, et nous ne l'avons pas oublié ; la Révolution, ce jour-là, le 14 juillet 1790, a fait, je ne veux pas dire l'âme de la France – personne que Dieu n'a fait l'âme de la France – mais la Révolution a donné à la France conscience d'elle-même , elle a révélé à elle-même l'âme de la France »
Ne voyez pas pas dans ces paroles un quelquonque recommencement de l'histoire , mais il est vrai que les Français vivent de plus en plus mal l'arrivée des socialistes , présent partout (A la Présidence , au Gouvernement , aux Régions , dans nos villes ) , ils montrent leur amateurisme , le Pays recule et la colère monte .
 
La Reconquête est en marche , rejoignez le Chêne pour marquer votre opposition au Gouvernement  :

http://www.lechene.org/adherer/adherer-renouveler.html

 

@Bientôt

18 juin 2013

18 Juin 1940 : l'Appel

 

TEXTELe 18 juin 1940, de Gaulle lance depuis Londres son célèbre appel à continuer le combat qu'il conclut par : « « Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas ». La France libre est née…

Le 17 juin de Gaulle repart aussitôt pour Londres avec son aide de camp Geoffroy de Courcel, afin de poursuivre la guerre. Après l'annonce de l'armistice faite par le maréchal Pétain, le Général lance le 18 juin, avec l'assentiment de Churchill, un appel à la résistance sur les ondes de la BBC. Cet appel, non enregistré, est assez peu entendu en France, mais il est publié dans la presse le lendemain et relu par les speakers.

Les jours suivants, toujours sur la BBC, il réitère sa dénonciation de l'armistice du gouvernement et reprend son appel à la résistance, dans son discours du 22 juin notamment : "L'honneur, le bon sens, l'intérêt de la Patrie, commandent à tous les Français libres de continuer le combat, là où ils seront et comme ils pourront". Général rebelle, il est rétrogradé et mis à la retraite par le gouvernement du maréchal Pétain, puis condamné à mort par contumace en août.

APPELLe général de Gaulle au micro de la BBC

Discours du Général de Gaulle prononcé à la radio de Londres le 18 juin 1940. Cet appel n'a pas été enregistré.

Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat.

Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne, de l'ennemi.

Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.

Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !

Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.

Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l'Empire britannique qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l'Angleterre, utiliser sans limites l'immense industrie des Etats-Unis.

Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un
jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.

Moi, Général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.

Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.

Demain, comme aujourd'hui, je parlerai à la Radio de Londres.

"A 49 ans, j'entrais dans l'aventure, comme un homme que le destin jetait hors de toutes les séries" écrit Charles de Gaulle dans le premier tome de ses Mémoires de guerre."

"De Gaulle, dans ce petit avion, emportait avec lui l'honneur de la France. Le même soir, il lança à la radio son célèbre appel au peuple français."
Winston Churchill, Premier ministre (GB)

 

Christophe

 

27 mai 2013

Les 70 ans du Conseil national de la Résistance

Réuni pour la première fois à Paris le 27 mai 1943 sous la présidence de Jean Moulin, émissaire du général de Gaulle, le Conseil national de la Résistance rassemble – en France occupée – des délégués de mouvements de la Résistance, de partis politiques et de syndicats.

 

Le Conseil national de la Résistance est une institution politique hybride qui reste sans autre exemple dans l'histoire de France. Organe clandestin à double vocation, le CNR devait représenter la Résistance intérieure et en constituer le cabinet de guerre. Mais il n'était pas souverain car il exerçait ses fonctions dans le cadre des instructions du chef de la France libre. Ni simplement consultatif, ni véritablement législatif - il ne prépara qu'indirectement la législation d'après-guerre , ni gouvernement de plein exercice, le CNR ressortit cependant à chacune de ces catégories. [...]

Le CNR comprenait seize sièges mais, compte tenu des renouvellements liés aux arrestations et aux départs pour Alger, le nombre de « conseillers » clandestins fut de 25 au total. L'éventail politique de la nation était fidèlement représenté, de la gauche à la droite, même si Jean Moulin regrettait la présence du Front national qui donnait une double représentation au parti communiste, et l'absence du parti social français, ce parti d'extrême droite dont certains dirigeants s'étaient engagés dans la Résistance.
C'est en toute indépendance que le CNR rédigea un « Programme d'action de la Résistance » pendant l'hiver 1943-1944. Si l'initiative en revient aux socialistes, elle fut reprise par le Front national et relancée ensuite par les mouvements de zone sud, si bien qu'elle put aboutir, le 15 mars 1944. En effet, le programme final représente un compromis entre le texte adopté par le bureau du CNR le 28 février 1944 et la version proposée par les socialistes au début de mars. Le 15 mars, l'unanimité est enfin acquise sur un texte qui aura donc été précédé de cinq autres projets définitifs soumis successivement au CNR.

Le manuscrit comportait en première partie un appel circonstancié à l'action immédiate et en deuxième partie un programme politique. C'est cette seconde partie qui devint, à la Libération, le texte de référence, sous le nom de « Programme du CNR ». Dans son ensemble, le document avait fait l'objet d'une négociation acharnée entre les socialistes et les communistes, les premiers préconisant une organisation pluraliste de l'action armée et sa coordination avec le débarquement allié, les seconds poussant à « faire confiance au peuple » et à envisager un déclenchement autonome de l'insurrection. Plutôt prudents et parfois accusés d'« attentisme » sur le plan militaire, les socialistes se montrèrent à l'inverse audacieux en matière sociale. C'est sur leur insistance que le « retour à la nation des grands moyens de production » furent insérés dans le programme.

 

Dans le Programme commun de la Résistance (Editions de l'Erudit, 1984), Claire Andrieu se livre à une minutieuse reconstitution de l'élaboration du Programme d'Action de la Résistance adopté par le CNR le 15 mars 1944. Les grandes étapes de la genèse du programme commun y sont restituées avec précision et clarté, des premières tentatives socialistes de janvier-juillet 1943 à la proposition conjointe du Front National et du Parti communiste de novembre 1943 qui, après avoir suscité un large débat au sein de toutes les tendances de la Résistance, aboutit au texte définitif du 15 mars.

 

Les socialistes sont les premiers à publier dans Le Populaire clandestin un programme politique global pour l'après-guerre, d'abord en janvier 1943 (« Notre Programme ») puis en juillet 1943 («Un programme commun à la Résistance française »). Claire Andrieu souligne que le projet socialiste ne semble pas avoir été discuté car il fut éclipsé par une proposition similaire qu'Emile Laffon dit Lachaux, envoyé en mission du CFLN, soumit aux membres du CNR dès son arrivée à Paris le 15 juillet 1943. Mais faute de pouvoir recueillir l'unanimité, le PCF et les représentants des droites s'y opposent, ce premier projet de « charte » du CNR fut abandonné.

A l'automne 1943, la publication de deux nouveaux projets vont contribuer à nourrir le débat sur le programme du CNR. La CGT propose en septembre 1943 son « programme d'action d'après-guerre » tandis que le Comité national d'Etudes présente en novembre 1943 un « Rapport sur la politique économique d'après-guerre ».

Le 26 novembre 1943, Pierre Villon pour le Front national soumet, avec l'assentiment du PCF, lors de la seconde réunion plénière du CNR, un Projet de Charte de la Résistance qui sera adopté par le Bureau du CNR, après de légères modifications, avant d'être transmis en janvier 1944 aux autres membres du CNR Le 28 février 1944 la Charte de la Résistance remaniée par le Mouvement de libération Nationale (MLN) est adoptée par le Bureau du CNR sous le nom de Programme d'action de la Résistance. Ce second projet du bureau du CNR sera modifié sur demande des socialistes en mars 1944 pour constituer à trois paragraphes près le texte du programme d'action final adopté le 15 mars 1944.

Au terme des cinq moutures (FN, bureau du CNR, MLN, PS, CNR) le texte final traduit le souci d'une « meilleure coordination de l'action immédiate » et une « inflexion des mesures de l'après-libération dans un sens plus socialisant ».

8 mai 2013

Reunion

Damien MESLOT Député, Conseiller Général

et Jean-Marie HERZOG Président du Comité Départemental de l'UMP Conseiller Municipal de Belfort

vous invitent à une grande réunion publique en présence de

 

 

Laurent WAUQUIEZ Ancien Ministre Vice-Président de l'UMP Député de la Haute-Loire

 

le Jeudi 16 mai à 20 h 00 à la salle de la M.I.E.L

(Rue des Eygras à Offemont)

 

Entrée libre

Merci de confirmer votre présence auprès de Stéphanie ou Aurélie au 03 84 22 19 07 ou  damien.meslot@wanadoo.fr

 

13 avril 2013

Un Gouvernement vraiment pas à la hauteur .....

Le nombre de demandeurs d’emploi a atteint 3 169 000 en janvier, au plus haut depuis 15 ans, mais François Hollande maintient son stupide engagement d’inverser la courbe du chômage d’ici la fin 2013. Il est de force de constater que contre le chômage, Hollande n’a plus que des mots. Ce n’est ni drôle, mais surtout pas très optimiste, pour un pseudo redressement productif de notre nation.

L’avenir est forcément sombre, puisque le principe de base, c’est qu’il n’y a pas de création d’emplois, sans croissance et que la croissance est durablement en panne. En dehors de cela, le gouvernement ne dispose que deux domaines d’intervention : En gros, la stimulation fiscale pour les entreprises et le traitement social pour les chômeurs. L’évidence, c’est que rien de tout cela n’a jamais véritablement fonctionné par le passé, malgré un budget pharaonique, consacré au traitement du chômage, l’un des plus élevé d’Europe, malgré ce traitement démentiel, dit du tonneau des danaïdes, le chômage progresse de façon vertigineuse.

Que le doute s’installe chez les Français, face à de fallacieuses promesses et engagements pour le moins, à contre-courant de l’économie, de l’industrie, des PME et de la globalité de nos tissus économiques, cela n’est que logique.

Pour beaucoup d’employé de la fonction publique, c’est pour eux, un réveil très douloureux, davantage que pour les autres parties de la société, quoique les 9 500 000 salariés du privé dont 25% du service public, qui au passage de loi défaites en hâte, perdirent en moyenne 650 euros sur leurs revenus annuels, acceptons aussi, que cette amputation de revenus , fut pour ceux qui ne votèrent pas pour ce pouvoir, assez rageant, quoique les fonctionnaires de la classe moyenne, qui eux votèrent pour 80 % d’entre eux, pour la gauche, ce n’est pas non plus, très réjouissant, comprenons que 65% d’entre eux se détournent en moins de dix mois, du parti socialiste, car eux aussi, furent impactés, par la suppression des heures supplémentaires défiscalisées, les modifications du quotient familial, les augmentations d’impôts de la classe moyenne, dont il font aussi partie.

Soit mais maintenant il faut à François Hollande, qu’il reconnaisse aussi que toutes les belles promesses faites pendant sa campagne électorale ne sont que de vulgaires chimères. J’ajoute que le gouvernement actuel, ne pourra pas éternellement parler un langage économique à rebours de celui parlé par les 26 autres membres de l’Union Européenne. L’Italie et l’Espagne ré-émergeront demain, comme des acteurs économiques rétablis. Pendant ce temps-là nous, Français, glissons vers la queue du peloton. Nous sommes en train de devenir le problème de l’Europe, en alourdissant à outrance les poids démentiels d’une fonction publique d’état pléthorique, d’une éducation nationale, ayant des nations développées les plus mauvais résultats d’Europe, mais on lui augmente ses effectifs, cela améliorera probablement à ses inefficacités légendaires...

Le problème n’est pas tant le niveau des prélèvements, même s’ils dépassent les limites du tolérable en France, les plus élevés de toute l’Europe, mais revoyons urgemment à leur efficacité. Autrement dit, comment passer de l’égalité à l’équité ? On ne peut pas continuer à donner également à tous. La redistribution à l’intérieur de l’appareil redistributif, (l’état) ne peut se faire que par un transfert des classes moyennes supérieures, vers les catégories de la population les plus nécessiteuses. Il faut rendre à la machine son efficacité pour qu’elle soit un gage de contrat social et non un mécanisme aveugle de redistribution, outil qui jusqu’alors fut celui de la principale réserve d’électeurs du parti socialiste???

Arrêtons de confondre nos difficultés avec celles du monde. La crise de 2007 est arrivée après une période durant laquelle l’économie mondiale a crû de 5% par an pendant une dizaine d’années, et elle croît encore aujourd’hui de l’ordre de 3%. La récession globale de 2009 fait figure d’exception. Le problème de l’Occident, c’est moins la crise de 2007 que l’impéritie qui a prévalu depuis trente ans. Prenons l’endettement d’un pays comme la France, de l’ordre de plus de 90% de son PIB, 20% s’expliquent par le coût de la crise de 2007, mais 60 à 70% sont issus des années Mitterrand avec les "vannes" grandes ouvertes.L’Occident ne paye pas la crise de 2007, mais le fait d’avoir vécu à crédit avant.

Les gouvernants dénoncent des marchés financiers qu’ils ont de facto laissés prendre le pouvoir. Maintenant, ils doivent imposer la rigueur et gérer des crises sociales. Ont-ils l’autorité et la vision pour réparer le capitalisme ? Croyez vous Hollande , Ayrault, Moscovici etc... pouvoir nous tirer d'affaire ??

Qu’on ne nous dise pas que la version française des réformes Schröder, c’est la mise au sec de pans entiers de la population ! Que François Hollande le roi de la parlotte, fasse très vite de véritables réformes en faisant des coupes sombres dans ces millefeuilles administratifs qui sont le principal facteur de toutes nos pertes de compétitivités et d’emplois industriels et autres. Difficile pour lui, puisque les villes, les départements, les régions, les communautés de communes et d’agglomérations sont pour 75% d’entre eux, détenus par des socialistes,c’est devoir couper la branche, sur laquelle furent si bien assis, tous les amis de François Hollande.

Alors que faire....et bien dès les municipales de 2014 , commençons par reprendre les villes , le  reste suivra.

 

La Reconquête , c'est maintenant .

Bientôt une thématique sur les retraites dans la fonction publique.

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Le Chêne 90 : Les Gaullistes du Renouveau
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